Dans un entretien exclusif avec le Dauphiné Libéré ce jour, j'officialise ma candidature définitive pour les élections municipales sur Grenoble en mars 2014. Dans cet entretien, j'expose mes priorités concrètes, précises qui ont fait l'objet de nombreux travaux préparatoires tout au long des derniers mois.
De façon complémentaire, trois valeurs fortes me semblent de nature à nous rassembler :
1) L'élection des 23 et 30 mars 2014 ne sera pas une élection comme les autres : les 23 et 30 mars 2014, tous les
habitants de l’agglomération seront grenoblois. La Métro a pris une importance capitale.
Pour que la majorité de la Métro change, il faut que la majorité de Grenoble
change.
Cette majorité doit changer dans des conditions
exceptionnelles de crises. La crise est maintenant partout chez elle dans l’agglo :
insécurité, embouteillages, endettements …
Cette double réalité impose une place particulière à
l’expérience, à la clarté des projets.
2) La demande pour une autre politique est de plus en plus
forte : 50 % des citoyens ne
votent plus. 70 % des citoyens ne se reconnaissent ni dans le PS ni dans
l’UMP. Les citoyens subissent les politiques mais ils ne les aiment
plus. Bien davantage, ils ne les croient plus.
Les politiques apparaissent maintenant comme de faux citoyens
chargés d’empêcher l’expression et la décision des vrais.
Je vais répondre à cette demande d’une autre politique. Je vais y répondre avec une équipe de citoyens rassemblés par un contrat démocratique clair, précis ayant valeur d’engagement grâce à l’inscription d’une procédure de révocation,
pour la première fois en France.
3) Toute l'actuelle classe politique locale est
empêtrée dans son passé : Safar va expliquer qu’il a servi pendant 18 ans le « grand guide » de la fin de
l’ancien siècle. Carignon va expliquer qu’il faut revenir aux années de son
bilan. Chamussy va expliquer que, s’il a toujours perdu à chacune de
ses nombreuses candidatures, c’est parce qu’il n’a encore jamais été premier.…
Ces débats du passé, c’est la sinistrose assurée. A l’opposé, je ne vais parler que d’avenir. L’avenir est une idée
neuve à Grenoble, pas une ride.
Mon offre est simple : l’avenir est à Grenoble. Ici,
c’est possible :
– de baisser les impôts,
– de faire disparaître l’insécurité,
– de circuler de façon fluide,
– de réussir en s’enrichissant et en créant des emplois : l'emploi qui est la première mesure sociale pour assurer l'indépendance et le progrès individuels.
L’agglomération
grenobloise doit être la Californie de la France : l’optimisme sans la
dette. La dette, nous l’avons déjà et nous allons en libérer les jeunes
générations. L’optimisme, nous l’avons perdu mais nous allons le reconquérir à
partir d’actes et non pas de paroles éphémères.
Merci pour votre participation dans ce cadre.
Denis Bonzy
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