En plein mois d'été, deux sujets ont suscité des audiences particulièrement fortes attestant de l'intérêt : la démunicipalisation de l'eau et les dossiers financiers sur la dette locale. Sur ces deux points de nombreux commentaires nous ont été transmis. C'est le cas par exemple de celui de M. JJ Marchais posté hier soir au sujet de l'endettement public local :
"je vous suggère d'ajouter la dette du smtc à 600 millions d'euros début 2011 (source budget prévisionnel du smtc) cette dette correspond à 24 km de tramway ( à 25 millions le km) c'est à dire que les deux tiers des lignes en service aujourd'hui ne sont pas encore payées et le smtc prévoit d'investir 300 millions d'euros supplémentaires par endettement essentiellement dans les trois ans qui viennent pour un projet de ligne E dont 80 % ne sont pas justifiés".
Le montant global de la dette locale de la Métro, de la Ville de Grenoble et de leurs satellites directs, tous périmètres confondus, angoisse.
Il en est de même des accords de couvertures auprès d'établissements bancaires pour le moins "exotiques" à l'exemple notamment de la Banque Royale d'Ecosse qui laissent manifestement envisager des rebonds pour le moins peu maîtrisés de certains taux pour justifier de tels accords parfois jusqu'en … 2037.
L'actuel mutisme ne peut pas continuer. Il est temps que les collectivités locales fassent toute la transparence sur ce sujet qui concerne tous les contribuables.
Répondre à MAUDE Annuler la réponse.