A quelques jours de la conférence internationale de Copenhague, des représentants d'Etats se réunissent pour tenter de mettre la dernière main aux préparatifs sur les enjeux majeurs. L'un des enjeux consiste à savoir s'il est possible de parvenir à un traité "juridiquement contraignant".
Sur le plan Français, force est de constater que progressivement l'environnement a échappé à la science. Hier, des scientifiques démocratisaient les préoccupations environnementales (Cousteau, Tazieff …). Aujourd'hui, ce sont des autodidactes qui théorisent les données : là un animateur télé, ailleurs un photographe …
Si l'environnement ne doit pas être prisonnier de considérations scientifiques, ces dernières peuvent-elles à ce point être écartées des débats derrière les prophéties de "Docteurs catastrophes" qui prévoient d'autant plus le pire que l'opinion est intéressée par cette course au toujours plus grave ?
C'est une situation étonnante encouragée par les responsables politiques qui semblent avoir abandonné toute idée de rationalité en la matière notamment.
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