Vivre dans l'agglomération grenobloise actuellement, c'est circuler en voyant les camions des pompiers avec des inscriptions de révolte. Puis, prendre des voiries encombrées par des tas de poubelles. C'est lire dans la presse des accusations d'une extrême gravité : omerta politique sur des suspicions d'"affaires partagées" (tract FO), accusations sur des dysfonctionnements financiers (DL du jour et les avantages au sein de la Métro).
Puis, il y a tous les tracts peu évoqués de façon publique à l'exemple de la dernière commission paritaire de la Ville de Grenoble et la déclaration CFDT (voir photo ci-dessous de la première page du tract).
A quoi tient ce malaise d'une extrême gravité :