Première vraie journée de printemps sur Lyon aujourd'hui. Une fois de plus dans cette circonstance, je suis surpris par la différence qui se creuse entre Grenoble et Lyon et tout particulièrement dans la comparaison des centres-villes.
D'ordinaire, dans les logiques classiques des aménagements urbains, le centre-ville est une vitrine. C'est le cas pour Lyon : propreté, dynamisme commercial, fréquentation des restaurants … Le social-réalisme de Gérard Collomb en matière d'économie comme d'esthétique urbaine est très consensuel à juste titre.
A Grenoble, le centre-ville perd cette logique de vitrine.
Une logique qui n'est d'ailleurs pas inéluctable. Mais à la condition d'avoir un autre endroit pour faire vivre une