Deux logiques semblent vouées à s’affronter en 2014 :
– celle du pouvoir en place, d’ailleurs soutenu de façon étonnante par l’UMP lors du débat sur les orientations du SCOT : chaque espace naturel aurait vocation à servir d’expansion à l’urbanisation,
– celle d’une alternative qui considère qu’il faut rendre plus visible la nature en ville, donc non seulement respecter son espace mais le valoriser.
La nature doit être une élément d’identité d’une ville en lui reconnaissant une place à part entière.
Cette logique, abandonnée ces dernières années, a des conséquences concrètes dont les suivantes :