Denis Bonzy

Étiquette : La Métro de Grenoble

  • La Métro est-elle devenue une simple agence de pub ?

    Quand on constate les dégâts dans des Communes péri-urbaines par la moindre nuit de pluie un peu soutenue pour cause de non entretien de certains espaces, on mesure l'immensité des fossés qui existe entre les pubs de la Métro et la réalité des actes.

    La Métro organise "les journées françaises de l'évaluation" (juin 2013) alors même que c'est elle qui a lancé

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  • La Métro a-t-elle encore les moyens de se priver du péage urbain ?

    Deux dossiers méritent actuellement une attention particulière. D'une part, le retard important pris par la Métro sur le montage de la délégation de service public du Stade des Alpes. Initialement, cette DSP (délégation de service public) devait être bouclée pour fin avril 2012, contrat signé avec le délégataire à cette date. Le délégataire n'a toujours pas été désigné. Donc, par définition, le contrat finalisé est loin d'être signé. Cette signature semble reportée en fin d'année 2012. D'autre part,

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  • La Métro de Grenoble reconnait enfin la gravité de sa dette toxique

    Il y a six mois, la dette toxique de la Métro n’existait pas. Ou si peu. Ou avec si peu de risques. Aujourd’hui, la Métro reconnaît sa dette toxique, son importance et la gravité du dérapage des taux d’intérêts puisqu’elle décide de racheter par anticipation des emprunts.

    Que s’est-il passé entre temps ?

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  • Grenoble : la privatisation du stade des Alpes inquiète sur la gravité de la situation financière de la Métro

    Que l’une des plus grosses agglomérations de France ne puisse plus financer les « années difficiles » d’un équipement public pendant une période transitoire, n’est ce pas d’abord la reconnaissance d’une gravité extrême de sa situation financière ? Les Verts ont dénoncé à plusieurs reprises le niveau d’endettement de la Métro. Le projet de péage urbain était déjà l’aveu officiel de l’obligation de trouver une recette de plus pour financer des grands travaux de voiries.

    Mais là, privatiser le stade des Alpes, c’est la reconnaissance que la Métro n’a pas les moyens financiers à impôts constants pour porter un équipement public pendant une période difficile.

    La privatisation de cet équipement, c’est notamment :

    – la fin des invitations aux jeunes des clubs pour les matchs fanions,

    – la hausse des tarifs pour des opérations évènementielles,

    – la cession à un opérateur privé d’un élément présenté il y a encore quelques semaines comme l’atout essentiel de la vitalité économique de Grenoble compte tenu des gros efforts effectués en matière de diversification des locaux (voir vidéo ci-dessous).

    Il serait temps que la Métro expose avec clarté et rigueur technique la réalité de sa situation financière qui concerne tous les contribuables de l’agglomération grenobloise. Si les prévisions des Verts se confirment, ce serait une situation d’une extrême gravité. A ce sujet, il est étonnant et préjudiciable que le site Internet de la Métro soit d’une extrême complication pour accéder aux délibérations et aux éléments financiers alors que cette structure vivant sur les deniers publics se devrait d’être plus pédagogique en la matière.

     

    Entreprises : vos réceptions au Stade des Alpes par grenoblealpesmetropole