Le populisme de gauche progresse lui aussi. Mélenchon le cultive. Il y parvient assez bien comme si la crise devait récompenser l'ère des braillards qui, sans contenu, considèrent surtout que la victoire arrivera à celui qui crie le plus fort.
La crise économique : pas de problème. Il suffit de prendre l'argent où il est et il y en a encore plus qu'on pense.