Trois jours après la visite présidentielle, tout était retombé dans le politiquement correct habituel.
Les partisans du Chef de l'Etat ont multiplié les communiqués : un sujet, un verbe, un compliment.
Les adversaires du Chef de l'Etat ont diffusé leurs appréciations : un sujet, un verbe, une attaque.
Les écologistes grenoblois sont restés sur leur ligne classique : un sujet, un verbe, une attaque contre Nicolas Sarkozy et une aussi contre … Michel Destot.
Dans tout ce jeu bien rodé qui fonctionnait comme d'ordinaire, il y a eu une voix différente : celle du Bâtonnier de Grenoble