A quelques petites semaines de l'entrée dans la seconde moitié des mandats municipaux, force est de constater que les investissements locaux en services publics sont en panne.
Ceux qui trouvaient tout naturel que trois collèges soient construits et réhabilités en 5 ans sous l'un de mes mandats trouvent aujourd'hui des explications embarrassées pour tenter d'expliquer qu'un seul gymnase ne soit pas reconstruit sur le champ.
C'est une situation caricaturale du blocage généralisé subi par le Canton de Vif.