Au moment où la démocratie locale donne le triste sentiment dans l'agglomération grenobloise d'être non seulement à bout de souffle mais surtout à bout de nerfs (voir extrait de l'article du Dauphiné Libéré du jour ci-dessous), le véritable coup de poing des primaires porte sur la fin de ce supermarché électoral à débats cassés.
Samedi, le quotidien régional nous apprenait que