L’agglomération grenobloise a un suivi très sélectif des contestations. Il y a les contestations qui mobilisent les médias qui, par exemple, en ont fait des tonnes sur la procédure des sondages de l’Elysée engagée par un seul requérant. A l’opposé, il y a les contestations autour desquelles une conspiration du silence est efficacement organisée. C’est le cas de la contestation de la légalité de l’arrêté préfectoral déclarant l’utilité publique du projet de réalisation de la ligne E du tramway. Et pourtant, là, les réquerants ne sont pas … 1 mais … 51.
Ce silence est étonnant à de nombreux égards.