A ce rythme, dans quelques années, les pro-Europe seront très rares. Incapacité à faire vivre des règles claires, simples. Bureaucratie hyper-coûteuse avec des privilèges inqualifiables. Et maintenant l'Europe demande à Google de respecter des règles qu'elle ne parvient même pas à faire respecter par des organismes dont des actionnaires sont ses propres Etats membres !
Que reproche la commission à Google ? Pour l'essentiel de privilégier ses produits. On imagine une entreprise privée financer ses investissements pour privilégier les produits des … autres ?
C'est du grand n'importe quoi.
Comme l'ensemble du fonctionnement de cette bureaucratie européenne irresponsable, coupée des citoyens. Avez-vous déjà cherché à obtenir une réponse d'un commissaire européen sur un sujet précis ? Impossible. Ou plutôt en retour un verbiage incompréhensible.
Mais surtout, si l'accusation concerne une structure dont l'un des actionnaires est l'un des Etats membres de l'Union Européenne, la commission décline toute
Denis Bonzy 