Hier, une polémique a été engagée par Jérôme Safar au sujet de déclarations effectuées la veille par Alain Carignon concernant l’existence de dettes toxiques au sein des finances de la Ville de Grenoble. La démonstration de Jérôme Safar, purgée de commentaires d’une particulière agressivité inappropriée, appelle trois questions techniques qui méritent des réponses claires.
1) La dette de la Ville de Grenoble comprend-elle des emprunts toxiques ?