Denis Bonzy

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  • Quand le Sou des Ecoles nous prend par les bons sentiments …

    Voitures téléguidées 13 11 19

    S'amuser c'est vivre. Fin juin, le Sou des Ecoles avait organisé une journée avec de superbes jeux et des animateurs hyper sympas. Je n'ai jamais eu autant d'occasion de retenter ma chance avec une cross de hockey pour toujours rater à placer le palet au bon endroit … Mais le 23 novembre, retour sur des terrains de meilleure performance possible : les courses de voitures téléguidées. Avec Marie et nos fils Jonathan et Thomas, le jeu et le sport ont toujours été des moments partagés délicieux.

    DB football 2

    Avec Jonathan, il m'arrive même encore de parvenir à le convaincre de passer à l'occasion d'un dimanche des minutes à se lancer le ballon de football américain comme à la "belle époque". Quand il était petit, c'est lui qui me sollicitait. Maintenant c'est à moi de le faire. Les évolutions de la vie …

    DIAPO3

    Avec le fils d'Ombeline et Thomas, Léon, le jeu a retrouvé sa place dont les voitures téléguidées. Depuis cet été, nos courses sont nombreuses. Maintenant, je suis difficilement collable sur les Super Wings (Dizzy, Donnie ..) ou la Pat'Patrouille. Pour nos compétitions de voitures téléguidées, je ne sais pas pourquoi Léon … gagne toujours !!! C'est quasi décourageant à la longue sauf pour Léon bien sûr. J'ignore si le 23 novembre, Léon sera parmi les compétiteurs, mais pour ma part c'est sûr que je serai présent : tellement agréable de ne jamais avoir perdu l'âge de son enfance. Les voitures sont prêtes (et même un … quad) ! Encore faut-il parvenir à convaincre Léon de m'en prêter une … Avec l'aide de sa maman et de sa mamie, ce doit être possible de le convaincre. 

  • Les mots du bien être …

    Liberté 02 03 14

    Le plaisir de lire ce week-end l'ouvrage de Julia Rautenberg : la Thérapie Libre. C'est un livre remarquable sur un sujet essentiel : la paix intérieure. J'ai rencontré Mme Rautenberg il y a 3 ans quand elle préparait un livre pour les enfants. A cette époque, elle avait effectué rédaction et dessins. Elle m'avait contacté pour des conseils. Son projet de livre m'avait enthousiasmé. J'espère fortement qu'il sera publié prochainement. La rédaction pour les enfants est probablement l'une des plus difficiles possibles. Avec la Thérapie Libre, cette psychologue présente une méthode de travail sur l'essentiel : bien se connaître pour gagner la plus belle paix possible : la paix intérieure, la paix avec … soi-même. C'est le sujet le plus important car on ne gagne jamais contre son tempérament. Par conséquent, bien se connaître c'est gagner en efficacité, en "âme légère". Après le choc des maladies de mes parents, depuis cette époque c'est le sujet de littérature qui me passionne avec la littérature animalière. Pour avoir déjà beaucoup lu et rencontré de nombreuses personnes compétentes dans ce domaine, ce livre est d'un apport certain. Il va à l'essentiel. Il est concret. Plein de bon sens. Une belle lecture pour tenter d'identifier les mots du bien être. 

  • L’autre regard

    Les Cotes Bernard 11 11 19

    La valeur qui se perd le plus actuellement c'est le respect de l'autre. Hier après-midi, le plaisir de discuter avec un couple de personnes âgées n'habitant pas St Paul mais venant régulièrement se promener pour y trouver calme et contemplation. Et d'un coup aux Côtes Bernard l'arrivée de quads à échappement libre à allure folle. L'un des conducteurs n'avait même pas de casque et sa passagère avait un simple capuchon se de doudoune sur. la tête, paraissant elle manifestement frigorifiée. Une des deux personnes âgées se déplaçant difficilement avec une canne a juste eu le temps de monter sur un petit espace trottoir. Et une remarque simple "maintenant, même ici, le calme est fini !". Et d'expliquer combien leur vie est devenue difficile dans leur immeuble. Dans leur quartier. Rigoureusement, ce que Claude Fugain exprime aujourd'hui dans le quotidien régional. Des mots simples. Un constat. Qu'a-t-il donc pu se produire pour en arriver là ? Comment comprendre cette évolution qui a tant perdu le respect de l'autre ? Le respect du calme. Du silence. Du droit à la sécurité en bordure de voirie. Et de tant d'autres faits qui ont du sens. Jusqu'où cette évolution peut-elle encore aller ? Il est temps de s'interroger sérieusement sur de tels constats. Et surtout d'apporter des réponses urgentes. Hier, dans le regard de cette personne âgée, il y avait beaucoup de tristesse et d'inquiétude. A juste titre ! 

  • La nature à l’abandon

    Les Combes 2 02 12 18

    Dans des Communes de l'agglomération grenobloise, la nature a actuellement le choix entre deux hypothèses : soit disparaître pour céder la place au béton et au bitume soit être totalement laissée à l'abandon. C'est une situation totalement inédite à ce point. Au printemps, les berges de la Gresse, lieu idéal pour du running et des promenades familiales, étaient désertées par les familles car envahies par les … chenilles processionnaires. Aucun arbre nettoyé ! On ne peut pas construire dans le périmètre de protection absolue des eaux de captages de Grenoble mais on peut y installer un camp durable de … caravanes. Les berges Ouest du Drac sont impraticables avec des arbres jonchant les passages. Et la liste pourrait durer longtemps. Sur St Paul, les éviers pour éviter les ravinements de sentiers ne sont plus entretenus.  Les barrages de retenues ne retiennent plus rien car ils sont pleins à déborder de matériaux. Le lierre y pousse ! Et les voies d'écoulement sont jonchées de troncs d'arbres. Là aussi, la liste pourrait durer longtemps. Pourquoi cette situation ? Dans la Métro, parce que les accords politiques dans la coulisse donnent le sentiment de rentes de situations sans rapport avec le travail fait ou pas. Sur la Commune de St Paul, la raison est autre. 8 démissions d'élus ! Une non démission d'une élue qui habite Lyon mais qui reste conseillère de … St Paul. Dans le même mandat, en + des 8 élus démissionnaires, 2 démissions de responsable des services techniques. Et le troisième dernier (?) recruté ne connait pas la Commune. La nature est à l'abandon parce que le travail sérieux sur le terrain est à l'abandon. L'un va avec l'autre. Comme dans beaucoup de cas. Mais à ce point là, du jamais vu ! 

    Les Combes 1 02 12 18

  • Notre blog de campagne a pris ses couleurs d’automne

    Rioux 02 11 19

    Sur le terrain, la satisfaction de constater des références de plus en plus fréquentes à notre blog de campagne. Très souvent, de jeunes couples fraîchement arrivés sur la Commune évoquent la découverte de lieux de la Commune ou de dossiers via ce blog. Sur sa seule page d'accueil, 20 photos de St Paul en plein écran avec les couleurs d'automne. Et prochainement, nous mettrons en ligne les liens avec les 60 visites sur le terrain, ce qui représente une bibliothèque de l'ordre de 350 photos sur les hameaux de la Commune sous toutes les saisons. A court terme, la priorité est donnée à la diffusion de notre programme. Une diffusion qui débute aujourd'hui. Pour découvrir ce blog de campagne, il suffit de cliquer sur le lien suivant : Avec Denis Bonzy.

    Gros Moran 02 11 19

  • Les vrais choix !

    On Y va 05 11 19

    Si des équipes candidates en mars 2020 ne s'engagent pas pour bousculer ce qui est présenté comme des murs incontournables, dans de nombreuses Communes, c'est un échec terrible. Pourquoi ? 1) Parce qu'il y a des murs locaux créés de toutes pièces comme incontournables. Cette parole politique est dramatique parce qu'elle vise à installer comme naturelle une forme d'impuissance publique. Et ces dernières années ont vu des conseils municipaux devenir de simples comités des fêtes. Or, la plus belle fête dans une démocratie c'est de respecter la volonté des citoyens et de faire progresser la vie en commun. 2) Parce que ces murs ont pour vocation de faire disparaître les idées nouvelles. Avec cette police de la pensée, il faut accepter les faits : les bouchons, l'insécurité, l'urbanisation galopante détruisant les campagnes de proximité … Or, sur tous ces dossiers, il n'y a aucune fatalité. Ces faits sont le résultat de choix. Le résultat de décisions. Personne ne se presse pour les endosser. Mais ces décisions ont été prises. En douce. Mais elles ont été prises. La Métro sans les élus qui la composent, elle n'existe pas. Vous ne rencontrerez jamais la Métro sur un trottoir si des élus municipaux ne siégeaient pas pour prendre les décisions qui font la Métro. Le Villarey 1 sans les permis de construire signés par le maire sortant, il n'existerait pas. Il faut sortir de cette ambiance actuelle de fiction qui imposerait d'abandonner un discours de volonté pour aller vers un discours de preuve : prouver que cela reste encore possible. Le discours de l'impuissance publique, c'est le discours de la faillite de la démocratie. L'action doit rester le vecteur des vrais choix. Contre ces faux murs, bien sûr qu'on doit y aller ! Et plus nous serons nombreux et volontaires, plus ils tomberont rapidement. Allons-Y !!! 

  • L’angle de vue de l’enfance : quand Ottawa est nez à nez …

    Ottawa 02 11 19

    Les jeunes générations n'imaginent pas la chance qui est la leur de bénéficier des avancées techniques en matière de photos. L'économie de l'étape du tirage est une avancée considérable. Des économies. Du temps gagné pour progresser vers l'immédiateté. Tout ce qui parait aujourd'hui si naturel mais qui constitue des progrès considérables. Cette semaine, le plaisir d'offrir à notre petit-fils un appareil photos. Marie a fait un très bon choix. J'aime le voir découvrir des angles de vues. Mais pour moi aussi cette étape apporte de fortes découvertes. 3 constats. 1) Une fois de +, je suis stupéfait par les progrès faits pour les produits pour enfants. Des produits à part entière pour leur univers dont un esthétisme des couleurs remarquable. 2) Les qualités techniques sont réelles. Mais surtout 3) découvrir l'angle de vue de l'enfance. Ottawa est à sa hauteur (photo ci-dessus prise par Léon / NB : netteté à améliorer). Ils sont face à face. Nez à nez. Ils s'entendent à merveille. Confiance totale. Et il en faut de la confiance en étant à la même hauteur qu'elle. Pas un adulte qui n'apparaisse pas immense tant il est pris de bas. Et la liste pourrait durer longtemps. Le bénéfique rappel de l'angle de vue de l'enfance trop tôt oublié … J'avais oublié !

  • Ces réalités qui ne sont presque jamais ce qu’elles semblent être à la télé

    Cotes Bernard janvier 2018

    Je suis très surpris par l'absence de commentaires donnés par des journalistes sur des faits qui mettent en relief à quel point le décrochage peut être grand entre des réalités et l'image donnée à la TV. Il ne s'agit pas d'interprétations mais plus simplement ce que l'image ne montre pas. Dans le sport, la TV ralentit la perception de vitesse de la balle au tennis. Dans le rugby, la télé ne passe pas à son juste niveau le bruit des chocs, un bruit tel que je vois mal comment le rugby pourrait ne pas évoluer prochainement vers les protections analogues à celles des joueurs du football américain notamment pour la tête. Et la liste pourrait durer longtemps. Pour les inondations, c'est pareil. Quand j'ai présidé le conseil d'administration de l'Agence de l'Eau Rhône Méditerranée Corse, j'ai connu sur le terrain de nombreux cas de ce type. la réalité du terrain c'est quoi ? 1) L'odeur. L'image ne peut pas la révéler. Une odeur terrible qui prend à la gorge et qui change l'ambiance. 2) La durée pour évacuer la boue et l'humidité. 3) Les souvenirs chargés d'affection emportés ou détruits à jamais. C'est pour cela que je n'arrive à comprendre l'indifférence manifestée localement face au non entretien de certaines protections face aux risques naturels. Le risque est considérable. Des alertes récentes ont eu lieu (janvier 2018). Pourquoi cette indifférence face aux réalités du terrain ? Parce que ces réalités sont d'une gravité bien plus ample que les images de la télé.

  • Les beaux cadeaux inattendus à ce point

    Ottawa 30 10 19

    Le décès d'Aspen a été une épreuve considérable. Lutter ensemble pendant tant d'années pour subir une disparition imprévue en aussi peu d'heures à cause d'une maladie foudroyante non annoncée : tout s'ajoutait à la tristesse. Pendant plusieurs mois, une absence impossible à combler. Et puis, Marie se décide. Et un cadeau inattendu : rencontrer une éleveuse qui nous comprend mais surtout qui connait tellement bien ses chiens qu'elle nous décrit sa recommandation avec une infinie justesse. Et quelques mois plus tard, pas un jour sans que nous ne retrouvions à un niveau jamais connu tout ce qui avait fait notre attachement aussi fort à Aspen. Tout jusque dans les moindres détails. De la façon de soupirer avant son sommeil jusqu'à l'habitude de tirer ses pattes à la façon d'un chat. Ce regard si gentil. Tout sans exception comme jamais connu jusqu'alors. Ottawa est Aspen sous une autre apparence. Et pourtant la séquence temps des comparaisons possibles commence à être longue. La paix intérieure est un long apprentissage durement nécessaire au fil des épreuves. Par ce modeste billet, je tiens à exprimer toute ma reconnaissance à Mme Decaudin pour ce magnifique cadeau : Aspen brille toujours par une présence d'une apparence différente mais si proche sur le fond. Mme Decaudin ne peut probablement pas imaginer combien de fois dans une journée nos pensées reconnaissantes vont en sa direction. La vie est étonnante. En quelques heures, des personnes que l'on ne connait pas peuvent par leur honnêteté et par leur professionnalisme contribuer à changer une séquence temps importante de votre existence. C'est un côté magnifique de la nature humaine quand de telles magies se produisent. 

  • #LeVillarey1 : faut-il attendre le drame de la dernière goutte d’eau au robinet ?

    Le Villarey 28 05 19 (Copier)

    Il y avait déjà ce que nous connaissions avec cette première tranche de l'affaire immobilière Le Villarey : 3 ans de travaux forcés avec des nuisances considérables, la perte de l'identité de village, les camions à haut gabarit passant sur de très petites voiries, la hausse des impôts par le passage immédiat dans le domaine public de tous les aménagements, la pollution phonique notamment liée au trafic routier … mais pour la première fois à ce point le Préfet donne raison à ceux qui indiquaient que les réseaux d'eau et la ressource n'étaient pas en état d'accueillir une telle arrivée massive de nouveaux habitants : + 15 % de population d'un coup ! Les faits sont simples. Le 21 octobre 2019, le Préfet de l'Isère lance une "Alerte hydrique" sur plusieurs bassins territoriaux dont le secteur auquel appartient St Paul de Varces. 

    Concrètement, cela signifie quoi ?  1) Il y a officiellement “Alerte hydrique”. 2) Ce statut officiel conditionne des restrictions importantes d’usages de l’eau. C’est donc la reconnaissance qu’à la population du jour, le rapport démographie / production de la ressource est déjà critique. Par conséquent, comment imaginer l’arrivée massive de nouveaux habitants alors même que la ressource en eau ne permet déjà pas aux habitants actuels de bénéficier de tous les usages classiques de l’eau et ce y compris en période d’automne ? C’est donc la reconnaissance officielle que par définition il est impossible d’accueillir en l’état des infrastructures et de capacité de la ressource en eau de nouveaux habitants dans les conditions massives évoquées par l'affaire immobilière Le Villarey 1.

    Cela signifie aussi qu'il est impossible de faire face à la consommation considérable d'eau pendant le chantier.

    L'opération Le Villarey 1 ne peut pas avoir lieu. Au moment où de façon particulièrement regrettable le Tribunal Administratif de Grenoble a adopté une lecture hyper restrictive de l’intérêt à agir de particuliers y compris à l’égard d’affaires immobilières densifiées, c’est une donnée juridique technique fondamentale. Les élus municipaux doivent tirer les conséquences immédiates de ce constat et mettre un terme à leur entêtement totalement incompréhensible sur ce dossier. 

    Le Préfet de l'Isère donne aujourd'hui raison aux requérants qui, comme moi, ont de longue date mis en avant ce volet technique. Ce volet technique avait d'ailleurs été mis en avant aussi par des élus de la municipalité sortante lors de leurs recours de 2013 avant qu'ils ne changent d'avis. Il n'est jamais trop tard pour faire ce qui est juste. La municipalité sortante doit tirer les conséquences de l'arrêté préfectoral et retirer les permis de construire accordés.

    Faut-il attendre le drame de la dernière goutte d'eau au robinet pour que la raison retrouve enfin la place qu'elle n'aurait jamais dû perdre ?