Les faits : hier, Uber a bouclé un nouveau tour de table qui lui a rapporté près d'un milliard de dollars et qui valorise la société à plus de 50 milliards de dollars US (source : Wall Street Journal).
D'après le Wall Street Journal, qui cite des sources proches du dossier, les investisseurs ayant participé à la levée de fonds comprennent notamment le groupe informatique Microsoft.
Le Wall Street Journal note que le nouveau tour de table porte à plus de 5 milliards de dollars le total des financements obtenus jusqu'ici par la société sans être cotée en Bourse, égalant le record qu'avait enregistré Facebook avant de se lancer sur le Nasdaq.
La question : si la position française était la bonne et / ou la + répandue, le marché financerait une société dont les applications auraient vocation à être … interdites ?
Discussion :
chacun perçoit rapidement que le marché achète l'avenir avec une société qui a des applications à vocation planétaire comme son développement en Inde actuellement le prouve.
Et la France suivra ce mouvement ou elle se rangera une fois de plus dans la poussière des musées déclassés.
C'est l'une des démonstrations de l'actuel naufrage : des dogmatismes et des fonds de commerce qui marginalisent un pays avec la complicité d'un personnel politique qui a perdu tout courage et toute lucidité élémentaire pour garder la place dans le fauteuil.
Avec un pouvoir politique, il est possible d'être d'accord ou pas. Mais jamais autant de marqueurs de contre-sens manifestes ont clignoté. Si la logique garde sa place, et elle en a toujours une, l'ampleur du naufrage de ce pays s'annonce considérable car c'est bien d'une actuelle descente aux enfers dont il s'agit désormais dans les domaines majeurs.
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