Denis Bonzy

Quand il ne manque plus que la sensation du soleil, de la pluie ou du froid …

Mon adolescence a été marquée par la revue National Geographic. Au début, bien involontairement de ma part. Pendant les "vacances" d'été, maman me faisait préparer l'anglais de l'année suivante avec cette revue. La revue d'un côté. Le dictionnaire d'un autre côté. Etre prêt pour le rendu du devoir en fin d'après-midi. Des années et des années d'un rite immuable. 

Plus tard, quand j'ai été attiré par le métier d'éditeur, ma première démarche a été en direction d'un éditeur géographique lyonnais qui, pour des raisons de santé, envisageait de vendre sa société. L'accord n'a pas pu être trouvé. Dommage. Quelques années plus tard, avec Didier Richard, cette passion a trouvé une forme de concrétisation.

Puis, les techniques évoluant, ma passion pour National Geographic a pris d'autres formes complémentaires : vidéos, sites de photos (Instagram) …

Ours

Dernièrement, à l'occasion d'un déménagement, j'ai retrouvé la collection des National Geographic de mon adolescence. L'émotion a été très grande. J'ai même retrouvé des numéros antérieurs commandés à cette époque en fonction des thèmes comme ce numéro de juillet 1957 parce qu'il y avait un reportage sur le pole Sud, sujet d'intérêt pour moi à cette époque. Un mois et une année qui correspondent à


la date de naissance de Marie. Incroyable !

National Geographic 1957

Les nouvelles vidéos ou photos de National Geographic sont fantastiques. Il ne manque plus que la sensation du soleil, celle de la pluie ou du froid. Mais le transport est immédiat. C'est une découverte permanente que je recommande à chacun. Il y a déjà tant de soirées où ces vidéos ont remplacé pour moi les programmes TV.  

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