Denis Bonzy

Les limites de la politique en vidéo clip ou la frontière fragile entre postures et … impostures

Le 13 mai, le "tout Paris" défilait devant la Tour Eiffel une pancarte à la main. Les selfies défilaient sur Twitter. Et après plus … rien.

Bien davantage, non seulement les enfants kidnappées n'ont pas fait l'objet de mesures sérieuses mais une nouvelle vague de rapts est intervenue. 

Des témoins rapportent que 60 autres femmes et jeunes filles, de même que 31 garçons, ont été enlevés par des militants islamistes il y a trois jours dans un village


du nord-est du Nigéria. Le kidnapping allégué par les témoins se serait produit à Kummabza, à environ 150 kilomètres de Maiduguru, la capitale de l’État de Borno situé près de la frontière avec le Tchad. Aji Khalil, un militant qui lutte contre les extrémistes islamistes du Boko Haram qui sévissent au Nigéria, affirme que les enlèvements se sont produits samedi lors d’une attaque au cours de laquelle quatre villageois ont été tués.

Il y a des moments où la politique des postures a oublié au passage deux lettres qui changent tout : impostures.

Bring back our girls mai 2014

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