Depuis 48 heures, je constate avec consternation le faisceau d'actes qui suscitent de ma part une vive réprobation.
Quand la liste Chamussy choisit le mot "fatras" pour qualifier le programme de la liste Safar, c'est à dire l'anagramme à une lettre près (t) d'un nom de famille, c'est un choix qui ne relève pas du hasard. Ce n'est pas un choix digne. Les noms de famille doivent être respectés et pas détournés.
Quand Virginie Debuisson (liste Chamussy) attaque avec
violence sur Facebook un site professionnel (exprimeo), c'est une confusion qui n'est pas digne. Sur ce site, dès qu'il s'agit de Grenoble, c'est une rédaction qui n'est pas de mon fait. L'article en question a repris des informations vérifiées. La réalité des faits peut fâcher mais elle doit être respectée.
Quand Yannick Dionnet (liste Chamussy) ouvre le feu via des réseaux sociaux sur un entretien donné par Denis Setboune pour s'offusquer de "propos modérés", a-t-il seulement pris le temps de dresser "l'orthodoxie" des votes de membres de sa propre liste y compris lors de scrutins nationaux ?
Nous assistons depuis 48 heures à des débordements inquiétants qui dénotent manifestement une perte de sang froid, la difficulté de résister à des tentations malsaines dans un débat public.
Le débat public en France est déjà assez en mal de crédit pour s'adonner à de telles pratiques.
Quand je dis que c'est la 1ère fois que lors d'un débat public organisé par le Cub de la Presse de Grenoble une liste n'est pas représentée ni par sa tête de liste ni par la personne en seconde position, c'est un fait. Si ce fait est faux que les intéressés communiquent le précédent et nous le publierons.
Il n'est pas bon que le seuil des 30 derniers jours soit franchi dans un tel climat que nous condamnons et dont nous resterons à l'écart.
DB
Denis Bonzy 
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