Le rythme des débats publics s'intensifie (ce soir à Maison de la Nature et de l'Environnement). C'est une évolution saine qui montre la vitalité de citoyens désireux de montrer que l'élection c'est d'abord leur enjeu. Ce n'est pas celui de formations partisanes qui renaclent face à la démocratie directe. Pas davantage celui de "corps intermédiaires" qui deviendraient les points de passages exclusifs obligés de l'expression du grand nombre.
La pyramide démocratique locale retrouve son sens. Le pouvoir émane du citoyen.
Une nouvelle fois, Grenoble est à la tête de ce mouvement qui
tranche avec la morosité ambiante. Cette vague des débats publics est la première victoire de la campagne 2014 quand depuis 19 ans aucun référendum n'a été organisé comme si le chômage civique devait s'imposer entre deux élections.
L'équipe que je conduis est celle qui assume le plus fortement cette mentalité de la démocratie partagée.
Nous participons donc avec enthousiasme à cette première étape de reconquête de la démocratie participative.
Comme nous acceptons avec plaisir toutes les initiatives novatrices permettant de mieux connaître le parcours personnel des candidats : être et pas seulement promettre.
Ce matin, c'est avec émotion que j'ai résumé en quelques symboles les objets qui me tiennent à coeur pour un reportage à paraître sur le site d'informations Place Gre'Net. Le jogging plus espacé faute de temps me manque. Reprendre la longe pour partager le rythme de la course avec Chatham (chienne berger australien) en écoutant les musiques que j'aime … : c'est probablement la privation faute de temps qui me contrarie le plus actuellement.
DB
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