Ce matin, avec Elizabeth Zitoun, lors des échanges très précis avec l'équipe du journal éco-citoyen Les Antennes de Grenoble, nous avons défendu une valeur simple : nous devons partager l'audace de l'optimisme.
Le constat relève du simple bon sens :
– Pourquoi le pouvoir sortant serait-il capable de faire demain ce qu'il n'a pas fait hier ?
– Pourquoi l'opposition sortante serait-elle capable d'exprimer aujoud'hui les propositions qu'elle n'a pas présentées hier ?
Il faut donc du neuf.
Ce neuf, c'est l'équipe Nous Citoyens que je conduis.
C'est le neuf mais sans l'aventure parce qu'elle connait un équilibre entre des personnes expérimentées et d'autres qui vivent l'engagement public pour la première fois.
Ce doit être le neuf sur le fond en trouvant un nouvel équilibre entre solidarités et efficacité. Où est l'efficacité si c'est au prix de laisser sur le bord de la route des catégories entières de personnes ?
Nous sommes une collectivité et dans le voyage vers le nouveau siècle nous devons y parvenir tous à bord.
Nous devons également vivre une nouvelle gouvernance publique, avec davantage d'humilité de la part du pouvoir local, avec un pouvoir partagé en permanence par des consultations populaires, avec une transparence totale …
Depuis 2010, Grenoble décroche. La Métro angoisse. Elle est arrogante, trop lourde, déjà éloignée de la vie des territoires.
C'est toute cette réalité qu'il faut changer pour vivre un nouveau matin où Grenoble doit être la ville des réussites, des expérimentations, des initiatives spontanées.
DB
Denis Bonzy 
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