Notre candidature est celle pour changer un système qui est un scandale permanent dans de trop nombreux domaines et dont notre équipe est la seule à être totalement à l'écart.
Ce système n'est pas une fatalité. Il est le produit de choix des élus sortants de gauche et de droite.
Avant hier, l'UMP (liste Chamussy) a fait sur son blog un article très documenté sur Alpexpo rejoignant des inquiétudes déjà formulées par nos soins à plusieurs reprises de longue date. Cliquer sur le lien suivant pour avoir connaissance de cet article : Le scandale Alpexpo
Mais pourquoi cette fomation politique cache-t-elle que ses représentants ont approuvé tous les comptes d'Alpexpo sans la moindre exception ?
Mme Bon (représentante de M. Chamussy) et Michel Savin sont dans les instances de direction d'Alpexpo. Tous les comptes aujourd'hui dénoncés par l'UDI – UMP, qui a conscience de son retard sur notre approche, ont été approuvés par ses élus.
Voilà la clarté et la vérité.
Pour nous,
Savin et Bon sont dans la même catégorie que Pilaud parce qu'ils ont approuvé les mêmes comptes.
Des comptes qui conduisent les contribuables à probablement réinjecter 2 500 000 € pour combler les déficits de la seule année 2013. Et d'ailleurs comment expliquer que les comptes 2013 ne soient pas disponibles à fin janvier ?
2 500 000 € c'est 330 expulsions évitées sur l'année 2013 !
En moyenne, une expulsion est engagée quand la dette franchit le seuil des 7 500 € parce que l'organisme gestionnaire considère que la resssource familiale de base ne permet plus alors d'éponger ce retard.
Et d'un coup la mécanique se met en marche.
Avec 2 500 000 €, on effaçait 330 expulsions sur 2013. 330 familles qui avaient une nouvelle chance, une faculté de rebond, un espoir dans la société qui leur tend la main pour garder leur dignité.
A l'opposé, les trous d'Alpexpo sont bouchés mais la marche des expulsions a continué. Mais en marche pour quoi ? Expulser pour quoi le jour d'après ? Pour des crises qui s'ajoutent à la crise de départ ! Pour le chômage incontournable faute d'adresse et de téléphone. Pour une détresse humaine inqualifiable faute de toit.
La seule cagnotte des gaspillages permet par la rigueur de changer des conditions de répartition.
Voilà pourquoi il faut voter !
Pour reprendre cette liberté des choix.
A la révolution, le nom de Grenoble a été abandonné quelques années parce que la partie "noble" était insupportable. Ce fut alors Grelibre.
Cette mentalité là doit être la notre dans le calme, dans le sérieux, dans la réflexion. Ce faisant, nous n'aurons qu'un temps d'avance.
Ensemble, nous sommes candidats pour changer le système pas pour nous asseoir à la table du banquet. Et si nous ne le faisons pas, dès 2016, vous pouvez voter pour me mettre dehors avec le pouvoir de révocation que seule mon équipe propose.
DB
Denis Bonzy 
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