Denis Bonzy

Débat l’Ampérage : tourner la page de l’esprit chagrin

L'actuel enlisement dans la tristesse collective ne peut pas durer. Bien davantage, cette tristesse est l'un des pires handicaps pour sortir de l'actuelle crise.

Hier soir, à L'AmpéRage, mon message principal a été : sortons du pays de la tristesse. Il ne doit pas être le nôtre.

Le Dauphiné Libéré de ce jour dresse un compte rendu très détaillé de cette réunion. Une réunion marquée par une grande qualité d'organisation, une présence massive montrant l'impact des débats de ce type, une grande tolérance et un souci des précisions  comme des chiffres très professionnels.

La ville doit être un lieu d'initiatives, de créations, de fêtes.

Les élus ne doivent pas être des fonctionnaires de la politique mais des facilitateurs des projets des citoyens.

Aujourd'hui la société est en avance sur les politiques. Il faut donc que


les politiques aient de l'humilité, interviennent peu et soient à l'écoute et au service de ceux qui font bouger la société.

Quand la règlementation et la contrainte s'installent, le progrès recule.

Quand la morosité et l'animosité deviennent un état d'esprit, il n'est plus question d'avancer  mais de passer son temps à chercher à tenter de se consoler.

C'est l'opposé de l'avenir que nous devons aux nouvelles générations.

Nous devons d'abord tourner la page de l'esprit chagrin en mars 2014. C'est l'un des messages forts que les Grenoblois peuvent porter bien au-delà de leur ville.

DB

AmpéRage DL 10 01 14

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