Denis Bonzy

Municipales : le souffle du terrain va emporter les parapluies des partis

Comment fonctionne la politique française ? Les politocrates sont insatiables. Dès qu'ils ont un mandat, ils s'ennuient et pensent au prochain. Les mairies ne sont pas des exemples de gestion au service des citoyens mais des logistiques pour des ambitions parisiennes. C'est souvent un théâtre d'ombres de personnes peu compétentes qui ne travaillent pas en dehors de la politique.

Dans les années 60, la politique avait ses héros : résistants, intellectuels, grands avocats, écrivains …

Dans les années 2000, elle a ses hérauts : les annonciateurs des formules toutes faites qui parcourent les plateaux TV.

Plusqu'une nuance de lettres !

A Grenoble, on voit bien actuellement


le désarroi. La liste UMP est dans le vide. La bataille était pour l'investiture. Mais le jour d'après ?

Pour prendre connaissance du Journal de campagne n°37 et l'épisode de la reprise de janvier, cliquer sur le lien suivant : Les ruches affolées …

C'est pourtant le jour d'après qui concerne la vie quotidienne des citoyens. Le jour d'après intéresse peu les politocrates parce que le parapluie des partis est supposé fonctionner : le plancher qui permet au moins d'être dans l'opposition.

A ce jeu, l'opinion est la reine des pommes. 

Elle est massacrée. En mars, elle doit cesser de se tirer une balle dans le pied parce qu'elle a vu qu'en mai 2012 elle s'était déjà tiré une balle dans la … tête. 

Il est temps que l'opinion se réveille face aux politocrates. C'est la seule façon pour elle de sortir de la crise.

DB

Citoyen 13 01 13

Commentaires

Une réponse à « Municipales : le souffle du terrain va emporter les parapluies des partis »

  1. Avatar de Nicole
    Nicole

    Pour moi maintenant le choix est clair.
    Je suis stupéfaite par les propositions dites fortes de Matthieu Chamussy. Il nous propose de choisir le carrefour du Rondeau par référendum et comme grand projet le maintien de la Foire à l’Esplanade. Là, on rêve ou plutôt c’est du chauchemar. Je me posais encore des questions mais maintenant vous pouvez compter sur ma voix.

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