Une fois de plus, Lyon n'a pas de souci à se faire au sujet de la "concurrence" grenobloise. Sur la filière French Tech, Grenoble part avec plusieurs trains de retours mais ses "locomotives" n'en sont pas à quelques exceptions près.
Pas le moindre sang neuf. Toujours les mêmes aristocrates des nominations locales qui se croisent de réceptions en réceptions. Les fonctionnaires du para-public vont papoter avec les "fonctionnaires" des grands groupes privés coupés du terrain depuis
longtemps et dont le principal savoir faire consiste à gérer le carnet d'adresses.
Mais où sont les jeunes talents ? Les autodidactes de la filière ? Non pas ceux qui courent la décoration en Préfecture puis le champagne en mairie mais qui retroussent les manches pour faire vivre un projet, le développer …?
Voilà l'un des changements majeurs en mars 2014.
Seules urnes peuvent ouvrir un tel changement. Rarement une aristocratie locale n'aura autant verrouillé la redistribution locale de l'argent public.
DB
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