Les élections sur Grenoble doivent connaître 5 à 6 débats publics thématiques. Je propose que le premier débat soit consacré à l'éthique. Notre démocratie locale doit sortir des rumeurs, de cette culture des boules puantes permanentes.
S'il y a un problèmes, des questions à poser : les candidats doivent le faire en face à face devant les yeux de chacun.
Ce débat public indispensable est facile à structurer :
– 30 minutes sur les affaires des années 90,
– 30 minutes sur les affaires des années 2000,
– 30 minutes sur les projets de nouvelle gouvernance.
Il ne doit y avoir aucun sujet tabou.
Ceux qui jouent avec les boules puantes doivent être capables de
répondre à toutes les questions : les affaires de portefeuilles mais aussi celles de braguettes.
Il est temps que l'UMP règle le choix de son candidat. Il est temps que Chamussy assume sa dissidence et ses probables liaisons nouvelles avec Dumolard, ce qui explique les actuelles agressions à l'encontre de mon équipe. Et la campagne municipale doit se livrer dans une compétition sportive, loyale, claire à l'écart des rumeurs anonymes, à l'écart des sous-entendus malsains, à l'écart des commentaires pétainistes.
Grenoble ne doit pas être la France de Vichy, celle des corbeaux et des anonymes qui s'expriment sous les pseudos ou sous le manteau.
La démocratie locale mérite mieux.
Cette semaine, Montréal vient de donner un bel exemple de débat sur ce thème. Pourquoi cette transparence serait-elle interdite ou inaccessible ici ?
DB
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