En avril 2013, un cabinet (Phosphore) dépendant d'une multinationale des travaux publics (Eiffage) lance une opération de communication sur des villes qui ont vocation à vivre des innovations pour être des "villes durables" à perspective de 2030.
La campagne de presse met la lumière sur Grenoble, Strasbourg, Marseille.
Mais la lumière coûte cher aux contribuables locaux.
Le coup de projecteur leur coûte 286 000 € HT. Cette délibération a été votée par 73 élus de la Métro, toutes tendances confondues : PS, UMP, PCF … Il n'y a que M. Senamaz qui s'abstient et M. Kunz qui vote contre.
L'ardoise est lourde.
Et encore, par cette délibération du 28 septembre 2012,
les contribuables échappent à
la délibération initiale où le montant payé sur les impôts locaux était de 885 000 € HT. Cette délibération du 27 mai 2011 avait été votée par 71 élus à la Métro (PS + UMP + PCF …) avec seulement deux votes contre : MM Semanaz et Kuntz.
Que s'est-il passé entre temps pour que l'ardoise passe de 885 000 € HT à 286 000 € HT ?
Il y a eu une réunion de bureau (le 2 décembre 2011) où il a fallu choisir un Conseil pour défendre la Métro contre un recours contentieux sur la première délibération (R. Avrillier).
Le coup de com coûte cher aux contribuables. C'est la com qui domine les arbitrages dans des organismes où les impôts locaux sont dépensés sans rigueur. Il semblerait d'ailleurs qu'à Alpexpo une situation comptable intermédiaire sur 2013 laisserait apparaître un déficit record … A suivre.
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