Depuis mardi 27 août 2013, le comportement de responsables de l'UMP 38 est une catastrophe.
Une catastrophe sur le fond, parce que la rentrée efface des mois de travaux du printemps 2013.
Une catastrophe sur la forme, parce que
chaque jour voit
naître un communiqué de presse comme si les intéressés étaient incapables de parler entre eux, de se téléphoner, d'échanger. Et aujourd'hui, dans le Dauphiné Libéré, la nouvelle du jour n'est plus seulement le "procès des primaires" mais également le procès de la fédération de cette composante politique.
Je n'appartiens pas à l'UMP 38. Je croyais ces questions réglées.
Les primaires n'ont pas été le fruit d'élucubrations de deux ou trois énergumènes. Il y a eu un groupe de travail pluraliste et je demande à chaque membre de ce groupe de travail d'exprimer la réalité des faits.
Cette situation actuelle est indigne des réunions publiques du printemps. Elle ne respecte ni la lettre ni l'esprit des primaires.
Pour ce qui me concerne, je saisis aujourd'hui le Conseil des Primaires : la situation est simple : ou l'actuelle comédie sur les primaires de l'UMP 38 cesse, ou cette farce va continuer sans moi.
Denis Bonzy
NB : tous les faits quasi heure par heure de cette semaine en cliquant sur le lien suivant : Dans les coulisses de la campagne électorale
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