Quand on constate les dégâts dans des Communes péri-urbaines par la moindre nuit de pluie un peu soutenue pour cause de non entretien de certains espaces, on mesure l'immensité des fossés qui existe entre les pubs de la Métro et la réalité des actes.
La Métro organise "les journées françaises de l'évaluation" (juin 2013) alors même que c'est elle qui a lancé
un Stade des Alpes évalué à 45 M€ mais livré à 100 M€. Sacrée rigueur de l'évaluation !
Et c'est Migaud alors Président de la Métro du temps de la réalisation du Stade qui vient faire la leçon sur place comme Président de la Cour des Comptes nommé par … Sarkozy : tout est résumé de la cuisine politique française dans ce simple rappel qui bien entendu n'a jamais été rappelé par le microcosme local applaudissant ébahi aux discours à l'opposé des réalités d'hier.
La Métro fête les espaces naturels et "s'offre même une ferme" (mai 2013) mais sur le terrain, pas d'aide, pas de surveillance, pas d'incitation à entretenir les espaces agricoles comme le faisaient hier les agriculteurs. Conséquence pratique : à la moindre pluie soutenue c'est la place aux inondations.
Tout est comme cela dans la "politique" de la Métro : le discours d'un côté et l'absence d'acte de l'autre.
Comme la Métro est devenue le premier annonceur publicitaire dans l'agglo, c'est le silence acheté de facto sur des incohérences graves qui coûtent cher aux contribuables.
La Métro c'est le Publicis de l'agglo mais sur fonds publics et sans préoccupation de rentabilité.
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