L'espoir souriant a disparu de la vie politique française. La tristesse a tout gagné. Hollande promet pour toujours après-demain mais dans l'instant pas une seule bonne nouvelle réelle. Montebourg, Peillon, Hamon … incarnent un gauchisme arrogant, sûr de lui, agressif, incapable de tolérer la moindre contestation. Sur le plan local, leurs supporters sont les dignes héritiers de leurs "champions nationaux" : c'est tout juste s'ils parviennent à comprendre qu'une opposition puisse exister.
Avec un tel climat, l'opinion s'enfonce dans le pessimisme, l'agressivité, le repli sur soi.
Et si
l'espoir et le rire étaient la vitamine nécessaire pour sortir de la crise ?
Obama a le pouvoir joyeux.
Trudeau montre comment il se détend avant un discours important en dansant avec son épouse.
Des scènes inconcevables en France où le moindre pouvoir est digne de la pompe de la Reine d'Angleterre.
Les détenteurs des pouvoirs nationaux et locaux paraissent d'abord imbus d'eux-mêmes, attachés à des titres, insusceptibles de la moindre auto-dérision donc de la moindre distance avec les actions conduites.
Ils sont devenus une caricature des Princes qui gouvernent.
Ils coûtent cher. Ils ne règlent rien. Mais en plus, ils ne sont même pas sympas.
C'est le plus sûr mais plus court chemin pour tomber du trône parce que les Français aiment se payer la "tête du Roi" c'est dans leurs gênes.
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