Lundi, le Conseil Municipal de Grenoble se réunit sur le Compte Administratif 2012 : climat calme, pas de problème semble-t-il à entendre la majorité et même l’opposition. Depuis mercredi (soit 48 heures après le Conseil Municipal), les rumeurs d’une première vague importante de licenciements (61) à GEG (Gaz Electricité de Grenoble) s’amplifient, s’officialisent. Aujourd’hui, c’est officiel.
Le 30 janvier 2013,
j’avais été le premier à faire part du contenu du rapport de la Chambre Régionale des Comptes sur Gaz Electricité de Grenoble (GEG).
Le Conseil Municipal de Grenoble se déroule, avec à l’ordre du jour le point financier sur l’année 2012, et il ne débat pas de la crise financière du principal organisme para-municipal de la Ville de Grenoble.
Cette réalité des faits établit à elle seule le niveau de gravité de la crise de tout un sytème politique local.
Les 61 premières suppressions d’emplois à GEG ne sont qu’un début.
D’autres mesures de ce type sont actuellement repoussées pour cause d’élections municipales.
C’est la raison pour laquelle mercredi soir, j’ai tant insisté sur l’absolue nécessité de réalisation d’un état financier sérieux en détaillant les raisons d’être de cet état financier.
Denis Bonzy
Denis Bonzy 
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