Les élections municipales de mars 2014 n'intéressent pas encore la grande masse des indécis. Les réunions, les contacts directs … le prouvent. Le calendrier d'intérêt à la politique devient de plus en plus restreint, rapproché des seules échéances électorales.
Pourtant, en mars 2014, ce sera la "première élection" pour les majorités sortantes PS qu'elles iront à la bataille électorale dans un contexte où elles auront la totalité du pouvoir d'Etat.
En 2001, elles partageaient le pouvoir d'Etat (Chirac à l'Elysée et Jospin à Matignon).
Et dans ce contexte politique, seules
844 voix ont fait la différence au second tour entre Destot et la liste d'opposition d'alors.
La comparaison entre les états d'impopularités de Jospin et de Hollande sont instructifs.
Mars 2014 sera donc une élection "nouvelle" parce que le PS ne pourra pas "jouer en contre", ce qu'il sait très bien faire, mais qu'il devra répondre de ses propres responsabilités locales (après 18 ans de pouvoir local) et nationales (après 20 mois de pouvoirs présidentiel et parlementaire).
C'est une nouvelle donne totale.
Dans cette nouvelle donne, il faut concentrer les efforts sur Grenoble puisque c'est la majorité de la Métro qui est en cause. Or la Métro est le pouvoir croissant indiscutable.
C'est tout l'enjeu de la présente période. Il faut avoir cosncience de la spécificité de l'élection 2014 et de la nécessité de concentrer des efforts sur la Ville dont le changement politique entraîne par richochet immédiat le changement de majorité à la Métro.
Cette démarche est celle du Club 20. N'hésitez pas à nous rejoindre pour nous aider quand nous allons ouvrir de nouvelles étapes de nos actions sur le terrain.
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Denis Bonzy
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