Nous avons pris connaissance avec attention de l'article paru ce jour dans le Dauphiné Libéré au sujet des vestiaires du Stade Bachelard de Grenoble.
Au regard de ces informations, quatre précisions s'imposent :
1) Sur la matérialité des faits : nous nous sommes engagés au regard de photos et de vidéos. Par conséquent, la matérialité des faits nous semble incontestée et incontestable.
2) Sur la motivation de la démarche : nous étions persuadés qu'il s'agissait exclusivement d'une protestation de parents concernés indépendamment des engagements partisans qui peuvent être les leurs par ailleurs.
La politisation de ce dossier n'a jamais été dans notre état d'esprit.
"Un vestiaire de gauche" comme un "vestiaire de droite" doivent être dénoncés parce que c'est l'état du vestiaire qui compte et non pas l'étiquette politique de la municipalité concernée.
3) C'est le même état d'esprit qui est le notre quand nous dénonçons la censure sur la page Facebook de la Ville de Grenoble.
Cette dénonciation conduit, notamment sur Facebook, des internautes à dénoncer à leur tour des situations d'interdictions de commentaires sur des sites Internet de Communes de droite dans l'agglomération grenobloise.
Comme la saleté d'équipements n'a pas de couleur politique, la censure n'est davantage tolérable à droite comme à gauche.
4) C'est par la qualité de citoyens libres d'abord garants de valeurs que l'agglomération progressera. Tant que les partis politiques pourront gérer leurs fonds de commerces avec des clients bien sages, toute l'agglomération y perdra.
C'est l'un des changements majeurs à conduire pour revaloriser la citoyenneté et améliorer l'actuelle politico-médiocrité dans la vie publique nationale.
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