Le pouvoir local sortant est en campagne électorale. C'est parti. Sur les réseaux sociaux (Twitter), Destot est même vu au Vertigo tard dans la nuit (?) pour faire … jeun's (voir tweet ci-dessous d'un DJ)(?).
Les "palmarès" vont se succéder : aucune première place ne pourra résister à Grenoble. Quant aux crises locales, elles n'existeront plus. Dernier exemple en date : le SMTC de l'agglomération grenobloise.
Il est en crise financière gravissime.
En avril 2011, Fitch retire les notes. Raison officielle : "le retrait des notes est dû au niveau inusffisant d'informations fournies par l'émetteur. Fitch cesse donc de noter et d'assurer la couverture analytique du SMTC Grenoble".
Puis tombe un rapport d'une extrême sévérité de la Chambre Régionale des Comptes tirant l'alerte sur de très nombreux points.
Ensuite, c'est la note officielle de la Direction financière du SMTC de l'agglomération grenobloise qui évoque pas moins que les établissements prêteurs ne … prêtent plus et sollicitent des garanties car ils doutent de la solvabilité du SMTC Grenoble.
Mais le Comité Syndical vient de se dérouler hier dans la sérénité la plus totale.
Message officiel : "tout va bien".
La "note" est donnée pour les 12 prochains mois : les mots vont balayer les crises.
Mais en cas de reconduction des actuels pouvoirs sortants, les crises emporteront les mots dès le lendemain de mars 2014 avec des augmentations historiques parce que l'actuelle crise financière imposera un retour aux réalités incontournable et d'autant plus sévère que rien n'aura été effectué à temps.
Ce sera alors la double peine pour les contribuables : ne pas avoir sanctionné les auteurs qui ont conduit à cette crise financière et les "récompenser" par des prélèvements toujours plus lourds pour le même service public rendu.
Denis Bonzy 
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