Denis Bonzy

L’avenir est-il aux partis politiques locaux ?

Après les Etats-Unis en 2010, la question est actuellement très vive au Canada et plus particulièrement dans la Province de Québec.

En 2010, le mouvement Tea Party, victime alors en France d'une présentation caricaturale à partir de clichés de ridicules extrêmes, était d'abord


la reconnaissance de mouvements locaux face à la défiance du fédéral.
Mensonge

C'est le sujet qui est actuellement ouvert au Canada.

A la base, un constat simple : des initiatives citoyennes à l'écart d'une formation politique "nationale" sont-elles contraintes de se réfugier dans l'apolitisme ? Non. L'apolitisme n'a aucun sens. La première conséquence de l'apolitisme revendiqué c'est l'opacité sur la base idéologique des intéressés, donc la lisibilité à terme des valeurs qui sont le socle de la démarche.

Les partis politiques locaux seront peut-être un excellent outil à la disposition des citoyens qui veulent travailler localement sans être prisonniers des clivages nationaux pour répondre aux véritables priorités locales ?

C'est une question à poser très sérieusement face à la mauvaise image des structures nationales des formations partisanes. 

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