C'est le projet concret sur lequel le Club 20 est actuellement mobilisé. Au rythme actuel, en 2015 les contribuables seront nus sur la dune de sable des promesses non tenues. En effet, tout n'est maintenant que "paroles sans financement" ou financements hypothétiques à chercher dans le … privé (A 51, tram aérien sans lendemain depuis avril 2012 …). Après l'élection de 2014, en cas de victoire du PS, c'est le péage urbain de proximité qui va venir s'ajouter aux impôts, taxes et redevances en perpétuelle augmentation.
Jamais les gaspillages locaux n'ont été aussi nombreux, généralisés. Nous attendons toujours
l'appel en comblement de passif du groupe boursier japonais actionnaire du GF 38 (10 millions d'euros de pertes).
Jamais de l'argent public n'a été autant dépensé pour des fonctions relevant du seul secteur privé et ce dans le cadre de dépenses récurrentes se cumulant d'année en année.
Les renflouements dépassent le raisonnable et dans des domaines les plus divers y compris l'information où le lien avec le secteur public est par définition d'une extrême dangerosité à l'exemple de TéléGrenoble qui reçoit des dotations publiques par centaines de milliers d'euros.
Tout ce qui est pris pour l'impôt est autant de pouvoir d'achat de moins pour les ménages.
C'est le pouvoir d'achat donc la consommation qu'il faut aider et non pas des gaspillages qu'il faut chasser.
Il faut une rupture brutale, radicale, extrêmement déterminée avec le train de vie des élus comme premiers exemples des économies.
Denis Bonzy 
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