L'importance déterminante du SCOT de la Région Grenobloise a été cachée aux citoyens de l'agglomération. Elle se révèlera rapidement par la compatibilité obligatoire des Plans Locaux d'Urbanisme. A cette occasion, les habitants de l'agglomération grenobloise éprouveront un triple sentiment :
1) Ils ont été privés d'un réel débat démocratique sur l'essentiel : l'aménagement durable de leurs espaces de vie.
2) Ils ont été privés d'une véritable explication sur les orientations adoptées par la majorité sortante de la Métro : densification, réduction des libertés de choix dans les modes de déplacements, atteintes au droit de propriété dans le péri-urbain …
3) Ils ont été privés d'un cadre clair, transparent de décisions par la mise en oeuvre d'une logique bureaucratique dogmatique qui n'a même pas considéré que des questions essentielles méritaient une réponse !
La démocratie suppose l'acceptation d'idées différentes.
Mais la démocratie suppose aussi que les institutions financées sur fonds publics ne se considèrent pas propriétaires du pouvoir au point même de ne plus répondre à des questions sérieuses majeures.
C'est tout l'enjeu de cette note du 25 juin 2012 adressée aux autorités compétentes.
En la découvrant, chacun pourra lors se faire une opinion précise sur des sujets souvent abordés dans nos billets.
Cette culture du diktat pourrait dans les prochaines semaines susciter des "rebondissements" publics importants dans des territoires voisins exposés à des méthodes identiques mais désireux de défendre avec détermination leur liberté de réflexion et leur qualité de décision.
Pour prendre connaissance de cette note du 25 juin 2012, cliquer sur le lien suivant : le SCOT et les questions de fond
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