La vie publique française semble tourner à vide. Certes, la crise limite les marges de manoeuvre. Mais pour l’instant, beaucoup semble figé.
C’est le cas pour les présidentielles qui démarreront avec la candidature officielle du Président sortant. C’est le cas encore davantage des législatives tant leur déroulement est désormais directement impacté par le résultat des présidentielles.
C’est donc une course … d’attente qui est ouverte.
Cette réalité démobilise. Elle altère l’engagement des citoyens. Un moindre engagement qui devient progressivement une caractéristique inquiétante dans la vie publique française.
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Denis Bonzy 
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