La crise est maintenant partout. Elle envahit tout. Elle contamine tout. Pas un espace de la vie publique Française ne semble échapper à la crise.
Les indices publics : tous faux. Un chiffre public est donné et il est aussitôt contredit.
La justice : aux abonnés absents dès qu’il s’agit d’un puissant.
Les banques ne seront jamais condamnées et même pas jugées. Delanoë transforme le pénal en simple réparation civile dans l’affaire Chirac tandis que Courroye remplace à lui seul tous les juges dans l’instruction Bettencourt.
Les parlementaires s’insultent dans les couloirs, s’apostrophent devant les micros mais se marrent à la buvette et s’arrangent dans la coulisse.
C’est la France. A quelques exceptions près, toutes ces images sont celles de Washington, la capitale fédérale, dans l’Amérique profonde. Conséquence : le 2 novembre 2010, c’est le grand coup de balai. La révolte par les urnes.
C’est le « grand soir » par le nouveau matin. L’esprit du redémarrage prend le dessus. Le Parti Républicain et ses « drôles de dames » donnent naissance à un ouragan électoral. Elles incarnent le pouvoir de changer pour repartir dans un monde meilleur. L’espoir a pris le dessus. En France, même cet état d’esprit là semble en crise désormais …
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