Aux Etats-Unis, au début des primaires, dans des supports classiques d’informations, il a longtemps été de tradition qu’une note technique « cadre » les jeunes stagiaires qui couvrent le parcours des candidats.
Cette note de « recommandations » porte des appréciations suivantes :
« – éviter de faire des pronostics définitifs,
– indiquer des prises de positions qui pourraient changer l’issue du scrutin,
– choisir pour indicateurs ceux qui mettent en relief les écarts de voix les plus faibles,
– mettre en évidence les incidents de campagne suscpetibles de remettre en cause le résultat
… »
Tout est « organisé » pour créer et maintenir le suspens. C’est la meilleure façon pour faire vivre une campagne et surtout maintenir l’audience des médias.
Il y a longtemps qu’en Isère, même le recours à ces techniques ne permettrait plus de faire vivre une interrogation sérieuse. Depuis 1995, pour des scrutins majeurs, une élection c’est la mise sur une ligne de départ de plusieurs candidats avec à l’arrivée la victoire de celui ou de celle qui porte le dossard : PS.
A quoi tient cette réalité ?
C’est l’une des questions auxquelles tente d’apporter des éléments de réponses le tome 2 de Grenoble, secrets de pouvoir.
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