L’agglomération grenobloise est malade de sa circulation. Le diagnostic date de 1986 avec un rapport technique très détaillé du CETE d’Aix, organisme d’expertise de la Direction de l’Equipement. Depuis 1986, tout s’est aggravé.
20 ans plus tard, le PDU mis sur la touche car venant de recevoir un carton rouge du Juge Administratif, la situation est alarmante et pénalise Grenoble dans plusieurs dossiers dont celui de la candidature aux JO de 2018.
Dans notre secteur, aucun équipement structurant n’est intervenu depuis 1998. La progression démographique a été forte. Les voies de communication n’ont pas suivi. L’agglomération a besoin d’un vaste plan d’ensemble précis, réaliste, doté des financements nécessaires et ancré dans un calendrier solide. Toutes ces caractéristiques font actuellement défaut. Les projets sont contestés, repoussés, annulés, pas financés. Il est temps de changer de méthode car l’immobilisme produit des conséquences très pénalisantes.
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